Une consultation en permaculture pour votre jardin ? Pour quoi faire ?

Votre jardin a besoin d’aide ? Vous ne savez pas par où commencer ? Les difficultés à savoir quoi mettre où vous laissent les bras ballants ? Vous connaissez un jardin en ruine ? Un jardin malade ?

L’heure n’est plus au tue-limaces, à la tonte de terrain de golf, au tailles de haies au carré en pleine nidification. Il est urgent de construire des systèmes pérennes, auto-fertiles, et sources d’autonomie.

On va réveiller tout ça, trouver des alternatives, se réconcilier.

Offrez-lui une consultation:

Comment ça se passe, une consultation du jardin, en permaculture ?

Je me déplace sur le terrain avec un carnet, et je vous écoute. Je note les envies, les contraintes, les difficultés … et les sujets qui sont source de conflit.

Vos déplacements, ce qui est en place, ce qui n’y est pas, ce qui mérite d’être optimisé est noté scrupuleusement dans mon carnet. On regarde ce qui pousse, ce qui va bien, ce qui a besoin d’aide.

Le projet fait quelques tours dans ma tête, je le laisse décanter un jour ou deux, et là, vlan : je rédige un document.

Et ça, ça coûte 250 euros.

C’est peut-être difficile d’imaginer comment un compte rendu va vous aider ?

Exemple de compte rendu de consultation du jardin en permaculture :

On va dire que je vais chez Caroline. Elle sait jardiner. . Beaucoup de choses ont été entreprises. Elle ne parvient pas à les faire aboutir. Caroline ne sait plus par quoi commencer pour finir. Elle a le sentiment d’étouffer sous la tâche

Je vais donc lui rédiger ma vision de son jardin, et de ses possibilités.

Chez Caroline un jardin qui respire.

Impressions :

Un très beau jardin, riche, plein de vitalité, de surprises inspirantes, on le sent choyé et investi. Sa beauté demande une mise en valeur par un simple peeling. Beaucoup d’actions ont été engagées, et ne demandent que leur aboutissement.

Actuellement :

Le jardin fait 150m°. Il est situé en périphérie de Poitiers.

Bien ensoleillé, il est bénéficie en été de l’ombre des arbres des voisins, au sud.

La limite nord est un mini-casse-tête, à cause de ces haies de thuyas. La monoculture de thuyas devrait être interdite. Dans ce jardin, elle empêche l’utilisation d’un espace idéal pour une haie comestible.(lianes, buissons, baies …)

Des éléments de résiliences sont déjà bien en place : collecteurs d’eau, compost, paillage, rangements, bois de chauffage, potager …

Il y a un fort potentiel de rangements : garage, espaces géants sous la cabane et la terrasse.

Il y a déjà un potager partagé avec des vieux seniors pour remplir le besoin d’autonomie, mais c’est pas une raison pour ne pas cultiver également sur la parcelle. Si le potager implique une consommation d’eau et de temps raisonnable, sur ce terrain, on peut y soigner, bichonner, arroser, prendre son temps. Une envie très très exprimée est de trouver la place du jardin d’aromatiques et de fleurs qui se bouffent.

Fort besoin d’avoir un coin à soi, d’investir ce lieu qui au début était destiné à la location.

Cela rejoint le besoin de se retrouver, d’être authentiquement soi-même, de se recentrer, de canaliser l’éparpillement, tant au niveau des activités que de l’organisation de l’espace.

Cette problématique de la dispersion entraîne tout naturellement un oubli de récolte. Trop de tâches engagées, difficilement abouties, de choses lourdes à terminer quand on est la seule paire d’épaules à s’impliquer.

Mais, Charlène, la fille de Caroline, donne quelques signes d’avoir envie de reprendre le digne flambeau de la curiosité et de l’envie de s’y coller. Elle sait nommer les plantes, y pense quand on parle de cadeau, butine et consomme le jardin.

Fred, le compagnon de Caroline n’est pas trop présent au jardin, sauf par l’intermédiaire de ses chats qui se servent des plates bandes comme latrines.

Caroline s’y sent un peu la seule responsable, et c’est lourd sur ses épaules. Du coup, il y a un peu de bordel, comme quand c’est lourd, et qu’on a trois vies dans la même journée.

Autres besoins identifiés :

  • Amoindrir le gâchis
  • Se recentrer, trouver une place et un rythme.
  • Trier, ranger, déplacer certains éléments.
  • Prioriser les tâches
  • Trouver une place pour chaque chose. Par exemple : les outils, comme souvent sont disséminés. Bosser sur les fonctions et places des cuves.
  • Mettre le paquet sur le bien-être, en préparant le jardin une bonne fois. Faire un espace à la sérénité, au plaisir d’être juste dedans.
  • Trouver un moyen de contenir les chats
  • Mettre en place un système anti-cuisson autour de la terrasse et de la cabane, qui tient compte du besoin d’ensoleillement hors été.

Envies exprimées :

  • coin d’aromates
  • sécher les plantes
  • serre adossée
  • chiottes sèches
  • investir la cabane : trouver sa réelle fonction
  • déplacer le compost, le rendre plus petit, plus pratique
  • la pergola : ce n’est même plus une envie, c’est un projet. Le matériel est sur place. L’association Cap vert peut aider à sa construction.

……………………………………………

Pistes :

Méthode permacoole :

Pour économiser l’énergie, et l’espace, faire un plan vu du dessus et se poser la question de l’endroit le plus près de la tâche. (J’ai envoyé un document à Caroline pour jouer en famille ç trouver la place de chaque élément.)

On peut déjà explorer un bon principe de permaculture :

intégrer, plutôt que séparer. Structures rangements-compost-cuves-abris-serre adossée, par exemple, peuvent être d’un seul tenant.

La spirale d’aromatiques trouvera sa place près de la porte de la cuisine, bien exposée. L’idée de construire une étagère-mini-serre-remplie de jardinières fait son chemin.

Dans la série gain de place/énergie, un autre principe à améliorer : Rapprocher le compost de la maison permettra de mieux s’en occuper. Il sera plus souvent utilisé. Du même coup, on évite les piétinements incessants, qui tassent le sol, et fatiguent les habitants.

L’emplacement actuel du compost, à mi-ombre, est idéal pour une zone sauvage, ou des toilettes sèches. Si tu choisis une zone sauvage, les toilettes sèches peuvent être installées à l’emplacement actuel de la cuve, qui sera mieux sous un des pilotis (cabane ou terrasse adossée à la maison.)

Il sera intéressant de déplacer les cuves et le stock de bois sous les pilotis : le bois sous celui de la maison, pour s’en rapprocher, et une cuve sous chacun.

Les outils sont éparpillés, parce qu’ils n’ont pas de place définie. Les espaces de potentiels rangements sont nombreux sur le terrain. Il ne reste plus qu’à trouver le rangement le plus proche du potager pour les protéger, et savoir où les retrouver.

La cabane sur pilotis peut devenir un endroit utile, et agréable :

les éléments sont déjà présents. Un canapé ne demande qu’à être placé. Il y est déjà entreposé. L’emplacement est propice à la détente, et à l’observation. Elle peut servir de chambre en été, de pièce de méditation, de lecture, ou encore d’atelier d’artiste. Les outils et objets qui y sont entreposés trouveront leur place dans le garage. Un collecteur d’eau peut être installé sous les pilotis, et récupérer l’eau du toit. Sa terrasse peut accueillir une treille, des pots, et des jardinières. L’ensoleillement est bon, et l’ombre portée des arbres des voisins aidera à protéger les plantes l’été.

Pour la terrasse, comme évoqué lors de la visite : l’association canopée peut aider à installer le matériel que tu as pour installer la pergola. En pièce-jointe, un topo sur la taille raisonnée du prunier, et sa guilde.

Solution urgente et immédiate : l’exercice de tri :

Le jardin est encombré par des objets qui n’ont pas d’utilisation.

Regarder chaque chose/objet/structure avec les lunettes : « qu’est-ce que cette chose m’apporte ». Commencer par une petite zone qu’on a vraiment envie de réinvestir, et la dépouiller de tout ce qui y traîne, même de ce qu’on veut garder. Et on avance zone par zone.

Faire trois tas  selon le sentiment, l’impression :
  • du dégoût, de la gène, de l’encombrement, c’est délabré => POUBELLE
  • de l’attachement mais pas d’utilité => valoriser par une utilisation, un don.
  • de l’utilité et de l’attachement, je mets dans le tas « à ranger, prendre soin , réparer, s’en servir».

Nettoyer la zone, lui installer les espaces et rangement nécessaires, ne garder dedans que ce qui servira dedans.

Organiser une troc-fête où chacun vient avec ses objets en bon état qui ne servent à rien, pour les échanger :

Se fixer une limite du nombre d’objet qu’on veut bien adopter, interdire à quiconque de laisser ses objets sur place en repartant. Ou, mieux : faire ça ailleurs que chez soi. Ne pas oublier que le but est de faire le vide, pas le plein.

Si la visite et ce document suffit à aider Caroline, c’est chouette. Ça va quand-même lui coûter 200 euros ttc. J’y ai passé une matinée, deux jours de tricotage de neurones, et deux heures de rédaction.

Si Caroline a besoin de plus qu’un document:

Voilà ce que je vais lui proposer :

Ce ne sont que des exemples.

Un abonnement à un calendrier partagé :

Sur une période donnée, on se fixe des buts, des pistes, des dates buttoirs. Avec le rythme qu’elle se fixes. Elle arrête quand elle veut. Elle peut y déposer des questions, et obtenir mes réponses.

Une navette :

Soit Caroline me fait part de son budget, et je calcule ce que je peux lui donner.

Soit, Caroline, n’est pas à l’aise avec ça, et je peux lui donner des exemples :
  • On peut fixer 3 navettes et une visite entre les deux dernières séances : temps estimé 10 heures = 500 euros ttc
  • Ou encore 5 allers et retours écrits et 2 visites (20 heures de boulot estimé) pour 1000 euros ttc.
  • Etc …
  • Des visites régulières  Le calendrier est fixé à l’avance. Il est incompressible. Cela nous oblige à avoir avancé toutes les deux, dans la réflexion, le croquis, la mise en œuvre avant le rendez-vous. Je me pose dans le jardin, j’observe, je réfléchis. Je rédige à chaque fois un document comme ça, sur un sujet bien précis du jardin. Elle peut estimer le temps qu’elle veut y consacrer, et j’y consacre. Je te propose un forfait de 150 euros par rendez-vous.

Un plan d’implantation dessiné vu du dessus

Le travail va prendre environ 35h/mois. Il sera effectué pour 1500 euros ttc pour un jardin de ville, qui mesure 150 mètres carrés.

  1. les éléments déjà en place
  2. Les différentes zones du jardin
  3. Un calque avec les projets dessus
  4. Des recommandations et pistes dans la marge.
  5. Un document écrit à propos des stratégies à mettre en place.

Prenons un deuxième exemple

On m’appelle pour obtenir mes conseils pour que la permaculture aide un jardin. Je comprends que je suis là aussi pour trouver des points d’accord sur les stratégies à mettre en place. Le jardin mesure 40 mètres de large, sur 60 mètres de long.

État actuel :


Le jardin semble fertile. L’herbe est très dense. Le sol souple lors de la première visite est devenu très compact dès le début du mois de mai.


Il a été travaillé dans le passé de façon « traditionnelle »,. Les anciens habitants ont retourné la terre retournée. L’utilisation de produits phyto-sanitaires a créé un déséquilibre. Liserons et chardons communs y sont nombreux. Boutons d’or et quelques benoîtes.


Absence de pâquerettes et de trèfle, peu de diversité.


Des violettes subsistent. Elles ont été malheureusement tondues avant montée à graines.

Pelouse :

Conseil pour un jardin en permaculture : les violettes font partie des espèces à protéger. Il faut tondre au bon moment.
foutre la paix au jardin quand il prépare ses graines

Les utilisateurs tondent environ tous les deux mois. Pour le moment, on laisse la tonte sur place en paquets. Les paquets étouffent l’a végétation et provoquent un jus méthanisé. C’est puant, et source d’érosions.

Le moment des tontes ne dépend pas encore d’une stratégie permacole, mais de la possibilité de le faire.

Il a été convenu que la zone commune aux voisins est tondue régulièrement. Le reste du jardin, est une zone de conflit entre les utilisateurs : certains veulent tout tondre, d’autres ne veulent rien entretenir. Les deux stratégies risquent de déséquilibrer le jardin.

De nombreux lézards y trouvent leur place. Il n’y pousse que du gazon, un plan de centaurée, et au printemps les bulbes plantés par le passé.

Jardin en permaculture : conseil : utiliser les déchets verts avec prudence et vigilance, mais les utiliser
avoir une stratégie

Conseil pour ce jardin en permaculture :

  • Semer des plantes amélioratrices, engrais verts, mellifères, en particulier sur la zone sauvage.
  • Ne plus tondre avant que les violettes n’aient réussi à mûrir leurs graines.
  • Valoriser les tontes qui pour le moment font de gros paquets de moisi, en les utilisant comme paillage (après séchage) ou pour préparer les zones de culture.
  • Adoucir le coté très carré, très rectangulaire du jardin.
  • Tondre les chemins, et zones de détentes, ainsi que sous les arbres. Foutre la paix au reste après avoir semé de belles choses auto-fertiles, odorantes, et mellifères.

Potager :

Il y a une partie plantes aromatiques en cours, timidement, le long sud du mur central. Il y pousse de l’ail sauvage à préserver, et à bien différencier avant cueillette.


Le potager est cette année décevant, envahi de liseron, linéaire, peu pratique,peu investi. Le calendrier de chacun ne permet pas des cultures ayant besoin de soins quotidiens. Les habitants doivent s’occuper des plantes s’ils veulent obtenir une récolte.


L’eau du puis peut l’alimenter. Une nette baisse du niveau de l’eau s’est amorcée dès le mois de mai.

Proposition :

Utiliser les poules comme insecticide et engrais
  • On peut envisager de le changer de place, et entamer un travail de jardin-forêt : en priorité des plantes pérennes dans la strate arbustive,.
  • Des zones moins carrées, et plus pratiques en strates herbacées et couvre-sol (largueur d’un bras, plus de place pour bouger entre les rangs.
  • On peut agrémenter cette dernière strate de grillage afin d’éviter les déjections canines près des cultures, problème qui doit impérativement être résolu, et permettre aux poules et canards d’évoluer dans le jardin sans faire de dégâts sur les jeunes pousses.
  • .Une mini-serre en face de la cabane à outils permettrait d’éviter les soucis que les jeunes plantules ont connu l’an dernier : maux de dos pour Ambre, oublis de les rentrer le soir, oublis de les sortir au soleil, filage et dessèchements …)
  • Se servir du mur bien chaud pour y faire grimper des lianes comestibles, odorantes, décoratives. Cela complétera la stratégie de planter en priorité des plantes pérennes comestibles.
  • Le long du grillage sud, contiguë au voisin, créer un brise-vu fleuri.
  • Prendre garde au calendrier des cultures, et retenir les conseils demandés, ou les noter sur le tableau du couloir.
  • On dépose les déchets de cuisine devant un tas de branchages. Il serait peut-être mieux de faire un vrai compost, ou de déposer les épluchures sur les zones cultivées.
Zoner, obtenir différentes hauteurs
Créer des volumes

Arbres fruitiers :


Généreux, le jardin déplore quelques pertes.

Deux arbres sont morts. Deux cerisiers et un poirier ont perdu de grosses branches.
Deux interventions partielles de professionnels ont eu lieu entre fin 2018 et le printemps 2019 pour favoriser la production.
Les fruits sont nombreux, souvent laissés au sol. Une forte odeur d’alcool se dégage.
Des vers attaquent pommes et poires. Les figues sont fragiles.

Mon avis :

  • Couper les branches mortes, et faire appel à un élagueur qui pratique la taille raisonnée.
  • Passer fréquemment le râteau du tronc à la couronne, et composter ce qui en résulte. Saupoudrer la base des troncs avec la cendre du barbecul.
  • Pailler ou apporter du BRF frais cet automne.
  • Utiliser le poulailler : les noires de Janzé, très vives, sont capables de contenir cette invasion de vers de fruits. On peut en emprunter au printemps, si Hervé et Claire restent dans la crainte que personne ne s’en occupe vraiment. Il existe déjà, il ne reste plus ajouter un meuble (armoire, placard, buffet …) pour les garder en sécurité la nuit. Autre avantage : on peut utiliser la paille utilisée par les poules pour le potager. Il faut deux poules au moins pour leur santé mentale.. L’une d’elle peut être une maran (espèce locale qui mange les tiques.)
  • Brosser les troncs en hiver 2021 si ça n’a pas suffi

ZONE SAUVAGE :
Elle est essentielle au projet.

déterminer les espaces selon les besoins
Zoner

Elle a besoin d’un petit coup de pousse. Il y a peu de diversité dans cette zone : il y a eu beaucoup de liseron, et des bulbes au printemps. On a déposé des branchages le long du mur nord pour abriter les animaux.


Conseil : (du nord au sud de la zone.)


• Utiliser le mur pour y faire pousser des buissons-refuge qui nourrissent, abritent et sentent bon.
• Au sud de cette haie : fleurs hautes (trémières, tournesols, blé …)
• Devant les tiges hautes : des crucifères (moutardes, radis noirs …), des mellifères.
• Une bande tiges basses : plantains, pâquerettes … permettant de marcher pieds nus sans se noyer dans les herbes.
• le long du mur médian, plantes supportant plus d’ombre : consoudes, menthes, persil, ail des ours …)
• Bien travailler la zone érodée, à l’est en surplomb. Elle a besoin d’être grelinée, nourrie, paillée, puis plantée, paillée fin et arrosée le temps de l’implantation. Tiges hautes et plantes couvre-sol.

De la rivière au cabanon :


Une zone le long du cours d’eau sud-est a été arrachée.Il en résulte une érosion. La nature n’y a pas encore retrouvé ses droits.
La zone, partagée avec les voisins est tondue régulièrement.
Le cabanon n’est pas encore utilisé.
Des fruitiers sont installés le long d’un muret surmonté d’un grillage, côté nord du grillage. L’un d’eux a perdu une branche, mais ils sont en forme, fruits compris.

Le coût du truc :

La collecte des ressentis de chacun et le diagnostique ont été réalisés en plusieurs visites. Je dois prendre le temps de réaliser des plans, dessins, et documents écrits. Il y a eu des questions par téléphone, des échanges de mails, des appels à l’aide en urgence. C’est la formule plusieurs visites+ comptes rendus + plans + gestion de groupe à 2000 euros et du café.

On peut en rester là. Ou modifier notre partenariat. Je vais offrir une remise sur le travail effectué, et mettre en place un suivi, par un abonnement expliqué ci après :

Ce que je peux proposer au projet, c’est un abonnement, sur une année. Une journée d’accompagnement par mois est nécessaire, sur un an ou deux.

On peut négocier un abonnement, qui comprend :

  • les visites,
  • les conseils,
  • la recherche de partenariats avec des professionnels pour la taille, l’installation du matériel, et la recherche des matériaux tels que les plantes, la paille, le broyat …
  • la formation de tous les utilisateurs aux principes de la permaculture. Chacun devra repartir satisfait et convaincu des décisions prises en commun.

Je peux absorber ce stress pour 350 euros par mois.

consultation permaculture jardin
tu prendras bien une petite carte ?
Vous souhaitez partager ?

Pin It on Pinterest